Qualicontact

Tags: Prestataire spécialisé en études de marché,

• Taupin.l

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  Le 26/11/2021 à 06:53

  J'ai eu le malheur de bosser 2 mois chez Qualicontact il y a 13 ans, et c'est de loin la pire expérience de travail de ma vie. Et je découvre que rien n'a changé depuis. Des superviseurs sans aucun niveau d'étude ni éducation, qui t'espionne et te pressurise avec un chronomètre et des objectifs inatteignables. Interdiction d'aller au WC et de prendre une pause. Obligation de signer des lettres de demission (j'ai appris plus tard qu'on aurait pu les tuer en justice pour ça). C'est le pire job de Paris. Pour garder leurs objectifs, ont attendait que mes 3 superviseurs posent leur casque pour vite enregistrer des fausses promesses de don. Ça n'avait aucun sens. Mais la maltraitance et le harcèlement était si horrible, qu'on faisait n'importe quoi pour survivre dans la boîte. Heureusement, j'ai quitté ce job. Maintenant je monte des documentaires pour Canal+ ou FranceTV, et je gagne 3 fois plus que mon superviseur, pour un job 20 fois plus intéressant. Je pense qu'un jour on enverra un journaliste en caméra cachée là bas pour faire un sujet, j'en ai souvent parlé en conférence de rédaction, il y a un vrai film à faire.
• Laura.

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  Le 05/07/2021 à 17:32

  J'ai récemment travaillé pour Qualicontact et comment dire...Nous sommes "censés" représenter des associations et convaincre des donateurs de donner des dons pour diverses associations, mais tout au long de ma mission chez eux, j'ai eu l'impression que l'on essayait de vendre des produits à des particuliers par téléphone. Notre rôle principal est de récolter des dons auprès de donateurs, mais sachez que le plus important aux yeux des superviseurs est les objectifs à respecter, le temps convaincu par téléphone, car cela représente une partie de leur rémunération évidemment. Pourquoi mettre des objectifs en place ? Il s'agit d'associations pour lesquelles on travaille par pour LVMH ou une autre grosse entreprise. Les donateurs sont censés donner avec le cœur pas parce qu'ils ont des gens au téléphone qui essayent de les forcer avec un argumentaire déjà préparé. De plus, sachez que nous sommes constamment écoutés au téléphone par nos "superviseurs" quand on parle avec les donateurs. Les superviseurs, eux malgré leur gentillesse semblent être payés pour écouter au téléphone et faire des photocopies. L'un des superviseurs lui est d'ailleurs très lent et insistant avec les objectifs, qui à part écouter au téléphone les salariés et mettre la clim ne fait clairement rien de sa journée. Il faut aussi savoir que quand on n'atteint pas un certain temps passé au téléphone (3 minutes minimum) ou des objectifs inatteignables, on nous convoque à leur bureau afin de comparer nos chiffres à ceux du collègue, c'est humiliant et très démotivant. C'est un travail très répétitif et dur mentalement de par les gens qui vous parlent mal au téléphone et les objectifs pas réalisés "à temps" en fin de journée. De plus, les horaires sont intensifs, on finit à 20h30, donc imaginez-vous appeler chez des gens, la plupart du temps des retraités à 20h pour leur proposer des dons, ce n'est pas terrible. On a aucun répit entre chaque appel. Les seuls points positifs sont que le bâtiment est très propre, le personnel agréable et l'entreprise est accessible en transport en commun avec les lignes de métro, le bus et le RER à proximité. Bon courage aux nouveaux téléprospecteurs, il faudra être courageux et tenaces afin de tenir à la pression. I am out this place!
• Pierre.i

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  Le 09/10/2020 à 13:12

  J’ai mis deux étoiles pour l’expérience professionnelle et ce qu’elle m’a apportée. Mais c’est l’un des pires boulots que je n’ai jamais fait, la cause est belle ( les associations) mais sous couvert d’humanitaire c’est une entreprise vient capitaliste qui se cache derrière tout ça. Avec des objectifs, de la pression, une ambiance délétère. Un boulot vraiment compliqué, accrochez vous