Cela va plus loin que de la malhonnêteté. En effet, des droits d’auteur s’appliquent, et tout ou partie de ce qui est copié pour être revendu est considéré comme de l’escroquerie. D’ailleurs, lorsque l’on consulte son site, on s’aperçoit rapidement des dérives qu’à prise Stéphanie Deiss : « libération des sorts, dégagement d’entité, sorcellerie, pénétration psychique, vampire psychique »… et j’en passe. J’aimerais lui rappeler qu’abuser de la crédulité des gens est réprimandé par l’article 313-1 du Code Pénal.